Le ministre de l’Etat, secrétaire général à la présidence Kalzeubé Pahimi Deu
Parents, amis et encadreurs ont rempli la grande salle du palais du 15 janvier ce matin. Tous se sont mobilisés pour féliciter les lauréats qui sont arrivés à bout de leur formation après trois années de durs labeurs.
Ils sont au total 510 élèves des filières impôt-domaine, administration générale, budget-trésor, administration scolaire et universitaire, diplomatie, administration territoriale, à recevoir leurs parchemins.
Le président du comité d’organisation, Hinssou Hara s
Le président de l’amicale des élèves de la 17eme promotion, Abdel-Hadi Cherif Adam quant à lui a tout d’abord demandé à tous d’observer une minute de silence en la mémoire de tous leurs camarades que la mort a arraché et qui n’ont pas pu finir la formation, avant d’expliquer que « notre promotion est baptisée promotion de la 4ème République parce que nous voulons incarner les valeurs de citoyenneté et de travail que le chef de l’Etat impulse à travers les réformes institutionnelles dont il est le principal artisan ».
« Toute la 17ème promotion s’incline et remercie le chef de l’Etat de ce qu’il a instruit le gouvernement de nous prendre en compte dans la loi de finance 2019. L’Etat a beaucoup investi pour nous, il est a notre devoir de le servir avec dévouement », a–t-il ajouté.
Pour le directeur général de l’Ena, Senoussi Hassana Abdoul
« Cher lauréat de la 17eme promotion de l’Ena, je voudrai vous dire deux choses ne cédez jamais au découragement, restez toujours optimistes et actifs car il ya toujours quelque chose à entreprendre. Ensuite ne soyez pas mesquins, rêvez plus haut et grand. Les parchemins qui vous seront remis ne sont pas un fin en soit. Soyez dignes de ces parchemins par vos actions, faites honneurs à vos enseignant et à votre école », conseille le DG de l’Ena aux lauréats.
Dr David Houdeingar Ngarimaden
Le ministre de l’Etat, secrétaire général à la présidence Kalzeubé Pahimi Deu
Selon lui, l’Ena a formé plus de 2500 cadres qui font la fierté du Tchad à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Miguerta Djiraingué