Le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Dr Tom Erdimi et celui de l’éducation nationale et de la promotion civique, Moussa Kadam ont lancé officiellement ce lundi 19 juin 2023 les épreuves écrites de Bac 2023 au centre du lycée Felix Eboué.
Ils sont 93 944 candidats, toutes séries confondues, qui composent les premières épreuves écrites de baccalauréat session de juin ; sur l’ensemble du territoire national. Le centre du lycée Felix Eboué a servi de cadre pour le lancement officiel. Pour cette première journée les candidats se dissertent sur un sujet de français et un sujet de philosophie.
Pour le ministre de l’enseignement supérieur Tom Erdimi, les examens et le concours sont généralement les plus importants dans une organisation. « Nous avons constaté que tout est bon, tout le monde est à sa place, les épreuves sont disponibles et les élèves sont présents dans toutes les salles. C’est ça qui est important. Tous les présidents des centres sont à leurs places », constate-t-il. Contrairement aux anciennes habitudes, Tom Erdimi, rassure que « les présidents des centres ne partent plus avec les sujets, mais les épreuves sont codées dans l’ordinateur, c’est ce matin qu’on imprime et distribuent aux élèves », précise-t-il.
Selon Moussa Kadam, ministre de l’éducation nationale et de la promotion civique, le baccalauréat sanctionne un cursus de 13 ans. Pour lui, aujourd’hui les élèves doivent être jugés, être appréciés par un jury et obtenir leurs parchemins. « C’est une satisfaction pour moi. Car c’est le ministère de l’éducation nationale qui met en compétition son produit pour que demain les bacheliers puissent frapper à la porte des universités que préside le ministre Tom Erdimi. L’année, tant bien que mal, s’est bien achevée malgré quelques grèves perlées mais Dieu merci, on espère aussi que le baccalauréat se passera dans des bonnes conditions », souhaite-t-il.
Makine Djama