Culture

Le Recaf lance sa 2ème rencontre nationale de mise en œuvre du Priccac

Le Recaf lance sa 2ème rencontre nationale de mise en œuvre du Priccac 1

Dans le cadre du Programme de renforcement des industries et créatives d’Afrique centrale (Priccac), le Réseau culturel et artistique pour la formation et la francophonie (Recaf), a organisé ce vendredi 19 août 2022 à la bibliothèque nationale, la deuxième rencontre nationale de mise en place du réseau national des industries culturelles et créatives.

Le projet programme de renforcement des industries culturelles et créatives d’Afrique centrale (Priccac) fait partie des 10 projets retenus suite au premier appel à proposition du « programme Acp-ue culture-créer en Afrique centrale », porté par trois organisations de la société civile culturelle de la sous-région Afrique central à savoir le Réseau culturel et artistique pour la formation et la francophonie (Recaf) du Tchad, le collectif des experts et entrepreneurs culturels (codec) du Cameroun et la compagnie masseka théâtre de la république centrafricaine.

Selon le coordonnateur du Réseau culturel et artistique pour la formation et la francophonie Nguinambaye Manassé, ce projet est une action de coopération et de solidarité sous régional, et à travers les renforcements des capacités des jeunes issus des structures impliquées. « Ce projet permettra de créer un partenariat durable et une synergie entre les différentes structures de l’Afrique centrale », affirme le coordonnateur de Recaf.

D’après le coordonnateur adjoint de la maison des patrimoines culturels Netcho Abbo, le projet Programme de renforcement des industries culturelles et créatives (Priccac), est une contribution au développement du secteur culturel en Afrique centrale. « Il vise, dans une démarche proactif de coaching et d’accompagnements spécifique, le renforcement des capacités des entrepreneurs et promoteurs culturels à travers une série d’atelier de formation en technique de communication, montage de projet, administration de projet, recherche de financement et évaluation des projets », ajoute Netcho Abbo.

Ce projet a vu le jour grâce la contribution financière de l’union européenne et le soutien de l’organisation des Etats Afrique, de Caraïbes et du Pacifique.

Guillaume Barnabas, stagiaire