Le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement Abderamane Koulamallah a ténu a clarifié la position du gouvernement tchadien après la sortie des politico-militaire qui l’accuse de saper les pourparlers en cours à Doha au Qatar.
Après le chef de la délégation tchadienne des pourparlers des Doha, c’est autour du porte-parole du gouvernement réagir suite au communiqué des politico-militaires qui ont tiré la sonnette d’alarme sur les manœuvres du gouvernement, le ministre de la communication, porte-parole du. « Les négociations de Doha ne doivent pas prendre le pas sur le véritable dialogue qui regroupe les autres Tchadiens. Il n’y a pas que les politico-militaires dans cette affaire. Il y a aussi les partis politiques légalement constitués, la société civile, l’aspiration des jeunes et des femmes à vouloir apporter un changement », martèle le porte-parole du gouvernement qui rappelle le pays fait aussi face d’énormes défis.
Ces difficultés insiste Abderamane Koulamallah sont liées à l’avenir de la jeunesse tchadienne au premier plan. « Quel avenir pour notre jeunesse ? Qu’allons-nous donner pour la postériorité à notre jeunesse ? Quelles élections voulons-nous organiser et quelle crédibilité lui donner et quelles institutions nouvelles, crédibles, acceptables par les Tchadiens que nous voulons mettre en place », se demande le porte-parole du gouvernement de transition qui assure en amont que toutes ces questions essentielles auront leurs réponses lors du dialogue nationale inclusif. « Certains groupes politico-militaires qui excellent dans la désinformation accuse le gouvernement de vouloir torpiller les négociations. Cela nous surpris et choqué le gouvernement. Si nous voulons torpiller Doha ou saboter les négociations, pourquoi l’avons-nous organiser ? On aurait pu prendre des politico-militaires individuellement et négocier avec eux à l’idée de les faire rallier ou non au dialogue. Nous avons voulu faire une négociation globale pour que notre peuple puisse êre rassuré de notre intention.
Ces politico-militaires sont d’après le ministre de la communication des gens qui ont passé toute leur vie en exil, sont bien installés dans des palais occidentaux et « n’ont rien à faire de l’avenir du Tchad et de sa jeunesse ». « Il n’est pas question que tous les problèmes du Tchad soient résolus à Doha. Qu’en est-il des partis politiques et autres sensibilités ? En tant que gouvernement, nous sommes respojsables de l’avenir de cette nation. Nous ne pouvons pas nous amuser à mettre en péril son avenir parce qu’il y a quelques vétérans exilés qui ne veulent pas que ce dialogue réussissent », ajoute le ministre de communication qui assure renouveler la confiance du gouvernement au médiateur qatari, qui de son point de vue fait « un bon travail ».