A travers un communiqué de presse, le parti pour la Libertés de le développement (Pld), exhorte les parties en négociation à Doha, a s’entendre sur l’essentiel des points concernant les politico-militaires et laisser les autres questions au grand dialogue national inclusif et souverain attendu impatiemment des tchadiens.
Selon le parti depuis plus d’une année le gouvernement de la transition s’attèle a réunir autour d’une table les filles et les fils du Tchad pour le dialogue national inclusif et souverain. « Commencé depuis la mi-mars 2022, les négociateurs n’arrivent pas à conclure leurs travaux. Cela va naturellement impacter sur la durée de la transition dont le mandat est fixée pour 18 mois », s’inquiète le secrétaire à l’information, à la sensibilisation et à la mobilisation, Djassira Ngar.
Pour la réussite de ce dialogue le comité d’organisation du dialogue national inclusif (Codni), à organiser avec succès le pré-dialogue tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos frontières avec les compatriotes de la diaspora. Pour le parti pour les Libertés et le développement, la réussite du pré-dialogue avec les politico-militaires serait un atout considérable pour la tenue pour la de ce dialogue. « C’est tous ensemble que nous configureront le Tchad de demain que nous voulons un havre de paix, un pays de justice sociale, un pays de liberté, d’égalité et un pays de bonheur et de prospérité. Oui le Tchad est très riche en ressources mais, ces habitants pauvres a cause des divergences de ses enfants », dit-il avant de conclure que les résolutions issues de ce dialogue tant attendu permettront la refondation d’un nouveau Tchad ou la tolérance, la cohabitation pacifique, la justice et le développement seront le credo d’une nouvelle nation à bâtir.
Nguelsou Balgamma