Le Front Populaire pour la Fédération (Fpf) dirigé par Adoumbaye Daniel a lancé officiellement ses activités ce samedi 29 janvier 2022. Un parti qui a pour vision politique de promouvoir les valeurs fondamentales de liberté, de justice et de solidarité.
Fondé avec pour objectifs d’œuvrer pour le respect des droits prescrites par la charte des nations unies de 1945, de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 et la charte africaine des droits de l’homme et des peuples de 1981. Le parti politique d’obédience fédéraliste Fpf a pour vision politique de promouvoir les valeurs fondamentales de liberté de justice et de solidarité. « L’état républicain que nous devons promouvoir se justifiera vis-à-vis de ceux qui l’entretiennent. Nous faisons le pari d’engager le peuple tchadien, chacun selon ses compétences, dans une démarche de fourniture des biens et des services de base conséquent afin que les retombées du développement économique profitent de manière équitable à tous .
Ainsi, Dans cette forme d’organisation de fédération démocratique , nous nous engageons à faire bénéficier le peuple des avantages comparatifs, de sonner la fin de récréation pour ceux qui passe leur temps à dormir et se lever pour s’inviter à la table de ceux qui travaillent et de tourner la page du modèle pourri qu’est l’Etat unitaire dont la domination et la féodalité des temps modernes en sont la misérable règle du jeu » explique le président national de Fpf Adoumbaye Daniel
Selon le président national, la démarche politique qu’entreprend son parti n’est pas seulement pour témoigner des valeurs héritées mais aussi un combat politique pour rassembler la majorité des fédéralistes dans le but de gouverner le pays « nous sommes conscients que les partisans de la pensée unique, vont réduire notre initiative à un mouvement d’humeur qu’il suffirait de casser par des menaces et des cous tordus.Comme d’habitude nous leur disons qu’il est temps de lire les signes du temps » fait-il savoir
Et d’ajouter « la volonté farouche du peuple, le désir ardent de vivre digne et la conscience collective sont en marche et rien ne peut les arrêter »
Edith Kedai
