Yorongar se prévaut de ses turpitudes
Le président du conseil constitutionnel a répondu vendredi au député Ngarledji Yorongar, qui s’est plaint d’avoir été écarté injustement de la course à la présidentielle, que celui-ci se prévaut de ses propres turpitudes.
« Contrairement à ce qu’il prétend, le candidat a bel et bien fournit photos et emblèmes par le passé comme en témoigne le récépissé enregistre au greffe du conseil le 18 février 2011 » a indiqué Nagoum Yamassoum montrant l’emblème, les photos d’identité ainsi que le récépissé listant les pièces fournies (Voir pdf).
« Même s’il a fourni les pièces manquantes après coup, la loi n’a pas prévu de session de rattrapage. Dura lex, sed lex » a conclut le président du conseil constitutionnel.