La représentante du programme alimentaire mondiale (Pam) au Tchad, Nancy Walters et l’Ambassadeur de France au Tchad, Philipe Lacoste ont signé ce vendredi 05 juillet 2019, un accord de financement de ’’15 ans de coopération’’. Cet accord consiste à octroyer 500.000 € soit 283,5 millions francs Cfa pour des cantines scolaires.
Le gouvernement français, a alloué depuis 2004 plus de 23 millions d’euros (13 milliards de francs) au Pam afin de lutter contre la faim et la malnutrition au Tchad. Cette nouvelle contribution de la République française permettra au Pam de relever les nombreux défis liés à l’éducation des filles, notamment les adolescentes dans les provinces du Lac, du Kanem et du Guera. Le projet ciblera 13 250 élèves qui recevront des repas scolaires.
Pour la représentante du Pam au Tchad, à travers ce partenariat, de nombreux ménages ont reçu une assistance dans des secteurs tels que la nutrition, la sécurité alimentaire, la résilience et l’éducation. « Les projets ont ciblés une grande partie du territoire tchadien avec une attention particulière sur la bande sahélienne, les provinces du Bahr El Gazal, Batha et Guera qui ont reçu des financements pour mener des actions de résiliences combinés aux interventions de nutrition et de repas scolaire et d’ici à 2030 les élèves Tchadiens, en particulier ceux des régions en insécurité alimentaire aurons accès à une alimentation saine et équilibrée, qui réduira leur vulnérabilité à la faim et améliorera leur accès , leur rétention et leur performance à l’école », souligne-t-elle.
Selon Nancy Walters, lorsqu’un enfant souffre de la malnutrition, les conséquences négatives de cette maladie le suivent pour le restant de ses jours. Au Tchad, elle est responsable de 14% des redoublements scolaires.« En plus d’améliorer leur situation nutritionnelle, la fourniture d’un repas quotidien en milieu scolaire permet aux enfants de mieux se concentrer sur leurs études. Elle aide à accroitre les taux de scolarisation et de fréquentation, à faire progresser les taux de passage en classe supérieure grâce à l’amélioration des capacités cognitives » ajoute-t-elle.
L’ambassadeur de France au Tchad, Philipe Lacoste quant à lui, soutient le but de l’engagement de la France dans la lutte contre la malnutrition à la fois au niveau international et européen par le biais de ses interventions pour la nutrition.
« Grâce à différents outils financiers de l’Agence française de développement, du Centre de crise et de soutien du service de coopération de l’Ambassade, plusieurs millions d’euros sont décaissés chaque année en faveur de la lutte contre la sous-nutrition au Tchad », déclare-t-il.
Pour le secrétaire d’Etat à l’éducation nationale et à la promotion civique, Lamine Moustapha, le système éducatif tchadien est confronté à plusieurs défis parmi lesquels l’accès et le maintien des enfants à l’école et pour renverser cette tendance préjudiciable au développement socioéconomique du pays, le ministère de l’éducation nationale développe de manière continue des stratégies multisectorielles qui incluent les repas scolaires et la nutrition. Et que le meilleur exemple de l’engagement pris par le gouvernement et le Pam en faveur de l’alimentation scolaire est l’intensification du programme d’alimentation scolaire à base de productions locales. « Toutefois, la situation d’une grande partie des personnes vivant au Tchad reste précaire, notamment des groupes déplacés pour cause de crise humanitaire et ceux qui subissent l’effet des périodes de La France octroie 283,5 millions de francs Cfa au Tchad.
La représentante du programme alimentaire mondiale(Pam) au Tchad, Nancy Walters et l’Ambassadeur de France au Tchad Philipe Lacoste ont signé ce vendredi 05 juillet 2019, dans les locaux du Pam un accord de financement de ’’15 ans de coopération’’. Cet accord consiste à octroyer 500.000 € soit 283,5 millions francs Cfa pour des cantines scolaires.
Le gouvernement français, a alloué depuis 2004 plus de 23 millions d’euros (13 milliards de francs) au Pam afin de lutter contre la faim et la malnutrition au Tchad. Cette nouvelle contribution de la république française permettra au Pam de relever les nombreux défis liés à l’éducation des filles, notamment les adolescentes dans les provinces du Lac, du Kanem et du Guera. Le projet ciblera 13 250 élèves qui recevront des repas scolaires.
Pour la représentante du Pam au Tchad, à travers ce partenariat, de nombreux ménages ont reçu une assistance dans des secteurs tels que la nutrition, la sécurité alimentaire, la résilience et l’éducation. « Les projets ont ciblés une grande partie du territoire tchadien avec une attention particulière sur la bande sahélienne, les provinces du Bahr El Gazal, Batha et Guera qui ont reçu des financements pour mener des actions de résiliences combinés aux interventions de nutrition et de repas scolaire et d’ici à 2030 les élèves tchadiens, en particulier ceux de la région en insécurité alimentaire aurons accès à une alimentation saine et équilibré, qui réduira leur vulnérabilité à la faim et améliorera leur accès , leur rétention et leur performance à l’école », souligne-t-elle.
Selon Nancy Walters, lorsqu’un enfant souffre de la malnutrition, les conséquences négatives de cette maladie le suivent pour le restant de ses jours. Au Tchad, elle est responsable de 14% des redoublements scolaires.« En plus d’améliorer leur situation nutritionnelle, la fourniture d’un repas quotidien en milieu scolaire permet aux enfants de mieux se concentrer sur leurs études. Elle aide à accroitre les taux de scolarisation et de fréquentation, à faire progresser les taux de passage en classe supérieure grâce à l’amélioration des capacités cognitives » ajoute-t-elle.
L’ambassadeur de France au Tchad, Philipe Lacoste quant à lui, soutient le but de l’engagement de la France dans la lutte contre la malnutrition à la fois au niveau international et européen par le biais de ses interventions pour la nutrition. « Grâce à différents outils financiers de l’Agence française de développement, du Centre de crise et de soutien du service de coopération de l’Ambassade, plusieurs millions d’euros sont décaissés chaque année en faveur de la lutte contre la sous-nutrition au Tchad », déclare-t-il.
Pour le secrétaire d’Etat à l’éducation nationale et à la promotion civique, Lamine Moustapha, le système éducatif tchadien est confronté à plusieurs défis parmi lesquels l’accès et le maintien des enfants à l’école et pour renverser cette tendance préjudiciable au développement socioéconomique du pays, le ministère de l’éducation nationale développe de manière continue des stratégies multisectorielles qui incluent les repas scolaires et la nutrition. Et que le meilleur exemple de l’engagement pris par le gouvernement et le Pam en faveur de l’alimentation scolaire est l’intensification du programme d’alimentation scolaire à base de productions locales.
Fakeugnba Kedai Edith