Le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Dr Houdeingar David Ngarimaden a ouvert les travaux du 7ème congrès ordinaire du syndicat national des enseignants chercheurs du supérieur (Synecs) ce lundi 10 juin dans les locaux du ministère des Affaires étrangères.
Placé sous le thème ’’ l’unité syndicale pour un enseignement supérieur de qualité’’, ce 7ème congrès ordinaire du syndicat national des enseignants chercheurs du supérieur (Synecs) se tient trois ans après celui extraordinaire qui a permis la mise en place du bureau exécutif actuel mais surtout dans un contexte de crise de leadership.
Selon le président du comité d’organisation, Dr Madjindaye Yambaïdjé Florent, le choix du thème a été opéré en réponse aux moments de turbulence managériale que traverse le Synecs depuis quelques mois. « Ce congrès se doit de s’évertuer à relever plusieurs défis liés aux valeurs que cette corporation défend notamment le défi de l’unité, de la solidarité, de la tolérance, de la gouvernance, de la paix et de la cohésion sociale », précise-t-il.
Les travaux de ce 7ème congrès vont s’articuler autour de trois axes notamment les échanges autour de la question de la gouvernance syndicale, de la présentation des rapports moral et financier et du renouvellement du bureau exécutif.
Le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Dr Houdeingar David Ngarimaden, appelle au sens de responsabilité et invite les enseignants à une éthique élevée pour être de références pour les étudiants. « Nous devrons être crédibles tout en œuvrant pour une cohésion dans nos rangs, centrer nos actions sur l’objet essentiel de notre lutte et surtout rompre avec les errements susceptibles de ternir notre image », martèle le ministre qui se rappelle ainsi à ses collègues.
Sabre Na-ideyam
