Le président du Mouvement des entreprises du Tchad (Medut), Idriss Ahmat Adoum a procédé le samedi 24 août 2024, au lancement des activités dudit mouvement qui se veut apolitique.
Le Mouvement des entreprises du Tchad (Medut) se donne pour vision, l’action économique et l’investissement comme base de développement durable au Tchad. Selon son président, Idriss Ahmat Adoum, le Medut a pour objectifs d’encourager la création, le développement et l’épanouissement des entreprises, de renforcer la liberté entrepreneuriale et celle de la libre concurrence et de soutenir le dialogue social au sein des entreprises et des organisations professionnelles. « Le Mouvement des Entreprises du Tchad s’appuiera sur des représentations au niveau international pour faire connaître les opportunités d’affaires et le potentiel économique au Tchad. Cette proximité internationale nous permet également de faire connaître nos missions auprès des entrepreneurs, des investisseurs, des pays ayant des liens ou souhaitant établir des liens économiques avec notre pays », informe Idriss Ahmat Adoum. Il ajoute que le Tchad a un potentiel immense et appelle à l’unité pour relever les défis. « Ensemble, nous pouvons réaliser des progrès significatifs et bâtir un avenir prospère pour notre pays. Je nous invite à unir nos forces et à travailler main dans la main pour atteindre nos objectifs communs », invite-t-il.
Le Mouvement des entreprises du Tchad encourage la promotion des femmes et des jeunes dans l’action économique. « Le Mouvement des Entreprises du Tchad est soucieux du rôle important des jeunes pour le développement de l’économie tchadienne. C’est dans ce sens qu’elle met en place le Cercle des Jeunes Entrepreneurs qui regroupera ses membres âgés de moins de 40 ans. Il s’agit pour notre mouvement de valoriser et de mettre en exergue le dynamisme, l’esprit créatif de la jeunesse pour favoriser le développement de l’économie dans tous les secteurs. Raison pour laquelle nous nous sommes fixés l’objectif d’amener les jeunes à réussir dans l’entrepreneuriat, plutôt qu’un recours systématique à la Fonction publique ».
