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Bayong Stéphane, un jeune qui préfère l’entreprenariat

Bayong Stéphane, un jeune qui préfère l’entreprenariat 1

Après avoir obtenu son baccalauréat série 4, Bayong Stéphane préfère être son propre patron après une formation en fabrication des détergents liquides dans une église. Une activité qu’il trouve mieux qu’aller à l’Université.

Assis sur un banc avec sa sœur Adama sous un arbre dans la concession familiale, tous deux habiller en blanc et muni des sceaux d’eau, d’un tourne boule, d’un gobelet et un panier contenant des produits, comme matériel de travail, Stéphane prêt a lancé le processus de fabrication de ses détergents liquides qu’il nous définit comme produit de synthèse ayant une propriété

A l’aide d’un gan, Stéphane détache dans les plastiques des produits pouvant l’aider à fabriquer son détergent les uns après les autres. « Pour fabriquer le détergent j’utilise plusieurs produits dont le transageux qui est agent avant 18 litres d’eau pour un 1 kilogramme, du sel chimique qui est un assouplir et facilite le moulage de la tansage, de l’acide sulfonique pour mousser du colorant et du parfum pour donner du couleur et de l’odorat au détergent », nous explique Stéphane tout en tournant à l’aide du tourne boule les éléments composés les uns après les autres.

Avec sa sœur, ils tournent dans un même sens les éléments composés en ajoutant au fur et à mesure de l’eau. « Pour avoir 18 litres du détergent liquide, je débourse une Somme de 7500f pour payer les produits et consacre entre 30 à 35 minutes pour en fabriquer », dit-il avant d’ajouter qu’il a acquis cette formation dans une église de la capitale.

Apres la fabrication, Stéphane se promène à travers la ville pour la vente de son produit. « Je sillonne toute la ville pour la vente de mon produit. Je le vent en différentes quantités qui est de 250 à 1000f», indique-t-il. Il poursuit également que c’est son gagne-pain pour le moment. «C’est tous ce qui me permet de survenu à mes besoins pour le moment», poursuit-il.

Si ce jeune ne se préoccupe pas pour les études supérieures, il croit être un grand entrepreneur avec le concours de tous ceux qui encouragent l’entreprenariat. « Mon objectif, est d’être un grand entrepreneur, et j’appelle toutes les personnes qui encourage l’entreprenariat de m’aider à réaliser mon rêve », interpelle-il.

Lobey Bab Sidick