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Le Cicr et la maison des média du Tchad lancent la première édition du concours de reportage humanitaire

Le Cicr et la maison des média du Tchad lancent la première édition du concours de reportage humanitaire 1

A l’occasion du journée internationale des personnes disparues, le chef de délégation du Comité international du croix-rouge (Cicr) Drieh Abdi Mohamed, en partenariat avec la Maison des médias au Tchad (Mmt), a procédé ce mardi 30 août 2022 à hôtel Radisson blu, au lancement de la première édition du concours national de reportage humanitaire, placé sous le thème : « les personnes disparues lors des conflits armés dans le bassin du lac Tchad : les familles entre espoir et désolation »

Selon le chef de délégation du comité international du croix rouge (Cicr) Drieh Abdi Mohamed, la journée internationale des personnes disparues nous rappelle tous que derrière chaque personne disparue, il y a une famille qui cherche un être cher et qu’aborder, résoudre la question des personnes disparues contribue au processus de paix et réconciliation. « Car, le temps ne guérit pas les blessures des familles des familles disparues, seules les réponses le font », affirme-t-il.

A cette occasion, le Cicr rappelle que des efforts sont nécessaires pour éviter les disparitions, chercher les personnes disparues et fournir des informations sur leur sort et leur localisation à leurs familles. « Pour ces démarches, les familles doivent toujours être au centre de ces efforts », ajoute le chef de délégation du Cicr.

Pour lui, ce concours est aussi l’occasion de promouvoir l’action humanitaire et le droit international humanitaire (Dih) au sein des médias du pays et de susciter leur mobilisation et leur intérêt à l’action et aux défis humanitaire .

D’après la représentante de la maison des médias Mme Lobo Maurienne, le concours national de reportage humanitaire organisé par le comité international de la croix rouge (Circ) en partenariat avec la Mmt vise à initier davantage les journalistes tchadiens à la problématique humanitaire qui est pourtant d’actualité. « L’idée consiste à promouvoir l’action humanitaire et droit international humanitaire au sein des médias du pays et de susciter leur mobilisation », justifie Lobo Maurienne

Guillaume Barnabas, stagiaire