Le directeur général de la culture et du patrimoine Abdoulaye Souleymane Ousman Babale a ouvert ce 15 décembre 2021 la 8ème édition du festival international le Souffle de l’harmattan à la Bibliothèque National.
Placé sous le Thème ‘’les Tic au service de l’écriture ‘’. Ce festival est un cadre d’échanges et offre l’occasion aux organisateurs de pencher sur la place de la chaine du livre dans la soucoupe volante qui n’est que les nouvelles technologies de l’information et de la communication. « Nous aurons la réponse tout le long de cette 8ème édition du festival littéraire international’’ Le souffle de l’harmattan », nous informe Dounia Tog-Yangar.
Selon l’écrivain Gabonais Rosny Souaga, par ailleurs invité d’honneur, le souffle de l’hartmattan est un élément mageur pour le développement des fils et filles d’Afrique. « Ce festival est un appelle à la transformation de base de la société pour résoudre l’inégalités et toute forme d’injustice », dit-il.
Pour le directeur Artistique dudit Festival Sosthène Bmernodji, ce festival est une opportunité de mettre en valeurs les efforts des amoureux de la lecture et de l’écriture. « Depuis sa création, il est le lieu où l’écrivains s’expriment, c’est une activité qui à inspirer beaucoup d’autre évènements culturelle et littéraire en Afrique », souligne Sosthène Bmernodji. Pour lui, ce festival, contribu significativement à cimenter le vivre ensemble que cherche désespéramment nos autorités.
Pour le directeur général de la culture et du patrimoine Abdoulaye Soulemane Ousman Babale, le Souffle de L’harmattan est l’œuvre de notre premier écrivain Tchadien, Baba Moustapha, à qui les hommes et les femmes de lettre dédie la 8ème édition. « Nous nous réjouissons de nos écrivains et auteurs inscrits aux programme de tous les ordres de l’enseignement. Ils nous feront connaitre et apprécier leurs romans, pièces de théâtre, poèmes, nouvelles et contes qui nous permettrons de découvrir la riche diversité culturelle de notre pays et construire notre identité National », s’est-il réjouis. Selon lui, le Tchad regorge d’énorme diversité culturelle qu’il faut valoriser.
Ayati Nathan Stagiaire