Le Centre diocésain de la recherche action en alcoologie (Cediraa) a lancé son livre de 130 pages intitulé ‘’Boire ou souffrir au Tchad’’. Une occasion qui a permis aux panelistes d’échanger avec le public sur l’impact sociétal et humain de la consommation de l’alcool au Tchad.
C’est un livre de 130 pages paru dans les éditions Al-mouna qui relate les méfaits de l’alcool et la vie des alcoologues qui ont renoncé de boire l’alcool grâce aux sensibilisations de du Cediraa.
La Directrice du Centre diocésain de la recherche action en alcoologie Aurélie Roiné explique que « ce centre œuvre dans la lutte et la sensibilisation contre l’alcool et la drogue et aide les personnes qui cherchent a abandonné l’alcool ».
Pour la paneliste Dr Rahmat Noubangar, psychologue clinicienne, « l’alcoolisme au Tchad a des effets désastreux pour des différentes causes. Ces causes sont le suivisme, héréditaire et a illustré a titre d’exemple le cas d’une femme qui consomme l’alcool étant en ceinte ».
Selon Djimtolnan Yeungar Etienne, infirmier spécialiste en addictologie et de la santé mentale, la médecine classe les maladies liées a l’alcool a part. « La médecine classe les maladies liées a l’alcoolisme aux maladies de trouble mental car l’individu ne peut se jouir de ses capacités mentales sous l’effet de l’alcool ou de la drogue», explique-t-il.
Djimtolnan Yeungar de conclure, « qu’il existe des médicaments pour soigner l’alcoolisme qui est une decision mais pas des comprimés pour arrêter a un individu de boire ».
Cet ouvrage est disponible au prix de 5.000 francs Cfa au Cediraa sis au quartier Kabalye.
Lobey Bab Sidick
