L’état-major général des armées annonce dans une communication cet après-midi que les militaires accusés de viol à Téra au Niger où ils sont déployés dans le cadre du G5 Sahel ont été « suspendus » et « une enquête est ouverte ».
« L’état major se désolidarise totalement de ce comportement indigne et présente ses compassions aux victimes ainsi que leurs familles et assure que des sanctions énergiques seront prises lorsque les responsabilités seront établis » a indiqué le porte-parole de l’armée, le Général Azem Bermandora.
1200 soldats ont été déployés au Niger en février en appui aux forces nigériennes, burkinabé et maliennes qui peinent à repousser les djihadistes dans le fuseau central du G5 Sahel.