Le ministre de l’agriculture Adoulaye Diar a présidé ce jeudi 24 septembre 2020 l’atelier de validation du rapport de l’étude sur les outils d’opérationnalisation du dispositif de suivi-évaluation global orienté sur les résultats du plan national d’investissement du secteur rural (Pnisr).
Cet atelier, fruit du partenariat gouvernement-organisation des Nations-Unies pour alimentation et l’agriculture (Fao)-Union Europèen s’inscrit dans le cadre de l’appui à la mise en oeuvre du plan national d’investissement.
Selon le representant de la Fao au Tchad, Mahamadou Mansour Ndiaye, << cet atelier marque à la fois le point d’achèvement de la 2ème phase du processus du suivi-evaluation globale orienté et le point de depart de la 3ème phase qui portera sur le renforcement des capacité des acteurs, notamment direction étude, de la programmation et du suivi-evaluation des ministères en charge des sous-secteur du développement rural, chargés de metttre en oeuvre ce dispositif de suivi-évaluation global des projets programmes et projets contribution à la mise en oeuvre du Pnisr>>.
Le representant poursuit qu’ <<avec les resultats de la présente ètude, le pays vient de réaliser un pas important dans la mise en place du suivi-évaluation global orienté et est en capavité d’atteindre son objectif ultime qui est de contribuer à l’alimentation de la gouvernance des activités contribuant à la sécurité alimentaire, la nutrition et l’agriculture durable >>, poursuit-il avant de réaffirmer la disponilité de la Fao à poursuivre cet appui.
Selon le ministre de l’agriculture Adoulaye Diar, <<la mise en oeuvre effective du Pnisr, combinée au plan de reponse d’urgence alimentaire face à la Covid-19, constitue une impérative si nous voulons agir efficacement à court et moyen termes sur les causes conjoncturelles et structurelles de l’insecurité alimentaire et nutritionnelle et, partant la situation actuelle du monde rural en saisissant et en valorisant les opportunités multiples qui s’offrent à lui>>. Le ministre félicite les partenaires pour leur appui. <<J’apprecie par ailleur que les partenaires partagent les mêmes soucis que le gouvernement en matière de développement rural en général et de la securité alimentaire et nutritionnelle en particulier>>, ajoute-t-il.