La 29e Conférence des Nations unies sur le climat (COP29) à Bakou est marquée par une mobilisation sans précédent des pays africains.
Les dirigeants africains ont élevés à nouveau la voix pour exiger « justice climatique et réparation ». Ces derniers revendiquent une juste compensation pour les dommages causés par le réchauffement climatique et exigent la mise en œuvre immédiate du fonds pour pertes et dommages, un mécanisme crucial pour les pays vulnérables.
Au-delà des compensations, les dirigeants africains plaident également pour des règles strictes et transparentes pour réguler les marchés internationaux du carbone et garantir l’efficacité des mécanismes climatiques.
Les militants climatiques quant à eux, appellent à une transition juste et financé des énergies fossiles vers des systèmes renouvelables. Une revendication qui place la responsabilité des pays riches au cœur des négociations.