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Tchad : Action Contre la Faim renforce les capacités de ses partenaires locaux

Tchad : Action Contre la Faim renforce les capacités de ses partenaires locaux 1

Le Directeur pays d’Action Contre la Faim (Acf) au Tchad, Gustave Yamoussou, a ouvert le lundi 15 octobre 2024, l’atelier de renforcement des capacités de ses partenaires locaux.

Porté par le projet Detekanem, cet atelier de 2 jours a pour objectif de renforcer les capacités des partenaires locaux de l’Ong Action Contre la Faim sur, les procédures financières, logistiques, de communication, les ressources humaines et administratives, de plaidoyer et genre; Et de les outiller sur les procédures bailleur , sur la mobilisation des fonds et renforcer leurs capacités en matière de redevabilité et safeguarding.

Pour le coordonnateur consortium Detekanem, Paul Marie Kere, cet atelier est le lieu de partager les expériences par rapport à ce qui existe et ce qui peut être fait en fonction des différentes évaluations, en fonction des différents rapports d’audits, qu’est ce qui mérite d’être améliorer et s’il y a de nouveautés dans le procédure à inclure afin d’être tous opérationnels.

Selon le directeur pays de Action Contre la Faim, Gustave Yamoussou, son institution s’est dotée d’une stratégie programmatrice 2021-2025, soit 4 année de mise en œuvre.  «Dans ces stratégies, Action Contre la Faim  s’est fixée un objectif stratégique qui est de renforcer son partenariat.  Dans toutes ces actions  , que se soit  de développement et d’urgence, Acf se veut de travailler avec des organisations locales, des organisations des femmes et jeunes », indique -t-il.

Dans cette stratégie de partenariat poursuit  Gustave Yamoussoukro, Action Contre la Faim a une approche horizontale en terme de collaboration avec les différents acteurs. «  C’est une approche de co-construction, co-apprentissage et l’idée dans ce processus est que nos actions que nous mettons en œuvre puissent profiter des expertises des uns et autres pour apporter l’assistance aux personnes avec qui on travaille que nous appelons notamment les bénéficiaires », explique-t-il

Lobey Bab Sidick